DISPARITION – Le virtuose américain a disparu à l’âge de 51 ans.
C’est avec une tristesse infinie que le milieu classique apprenait, ce lundi 18 avril au soir, la disparition du pianiste Nicholas Angelich, à l’âge de seulement 51 ans. Le virtuose américain, qui avait fait l’essentiel de sa carrière en France et vivait à Paris, souffrait depuis plusieurs années d’une maladie respiratoire, qui l’a malheureusement emporté en ce week-end de Pâques, alors que disparaissaient aussi deux autres noms illustres de la musique: le compositeur britannique Harrison Birtwistle et le pianiste roumain Radu Lupu.
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Sur les réseaux sociaux, les comptes d’innombrables musiciens se sont comme voilés de larmes et de noir. Philippe Cassard faisait part de son «immense chagrin» à l’égard de ses deux collègues, qui venaient de rejoindre «le paradis des pianistes». Tandis que le chef et compositeur Esa-Pekka Salonen évoquait «un jour d’une tristesse inimaginable…», Renaud Capuçon, qui avait joué à de très nombreuses reprises avec Nicholas Angelich, lui rendait hier matin un dernier…
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