Sur la petite place qui borde l’entrée de l’hôtel Dar Tazi, les voix des enfants se sont tues. Depuis la terrasse la plus haute de l’établissement, une paire de arpèges d’oud se font entendre malgré l’heure avancée. Bruno Messina fixe l’horizon. Contemplant la médina, qui déroule à ses pieds ses trésors cachés. En cette nuitée caniculaire de juin, le ciel chérifien fait pleuvoter les étoiles jusque sur ses yeux.
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