ANALYSE – Alors que le groupe repart en tournée, la disparition de Charlie Watts, son batteur, met en péril le futur de la formation.
Le 26 septembre prochain, les Rolling Stones entameront une énième tournée américaine sur la scène du stade couvert de la ville de Saint Louis, dans le Missouri. À la batterie siégera le musicien américain Steve Jordan, 64 ans, et un CV long comme le bras. Vétéran des scènes et des studios depuis le milieu des années 1970, l’homme a prêté sa frappe sèche et sonore à de nombreux artistes, de Stevie Wonder à Beyoncé en passant par Eric Clapton, Bruce Springsteen, Neil Young ou Bob Dylan. En 1985, il est appelé par les Rolling Stones au studio Pathé-Marconi de Boulogne-Billancourt, où le groupe enregistre Dirty Work. Il s’agit de suppléer Charlie Watts, empêtré dans une dépendance à l’alcool et à la drogue. Dans la foulée, Keith Richards embarque Jordan pour ses projets solo.
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Dans un communiqué publié début août, Charlie Watts donnait sa bénédiction à Jordan pour le remplacer lors de la prochaine tournée du groupe le temps de sa convalescence. Absents des scènes depuis le 30 août 2019 pour
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